Et tout d'abord une eau unique par sa démarche souple, vive et majestueuse à la fois, plus claire qu'un ruisseau, aussi bavarde et soleilleuse, fleurie d'algues et d'écume.
La forêt continue, compacte et si profondément horizontale qu'elle figure l'étendue marine, descend jusqu'à ses rives mêmes, elle drape ses méandres de lourdes tentures aux plis sombres et lui donne ces reflets de schiste, de myrtilles et de cassis que Rimbaud a célébré…. » Extrait du livre "ARDENNES" de Jean ROGISSART

